Il peut arriver que l’on doute de soi. De son potentiel, de son travail, de sa faculté à surmonter les épreuves, de son physique…
Le doute raisonnable est bénéfique, fait avancer, progresser. Mais quand ce sentiment devient trop présent, que le doute nous taraude et que nous devenons peureux, hésitants, le manque de confiance en soi devient alors un véritable handicap.
Le manque de confiance en soi aujourd’hui est tellement répandu que beaucoup d’entre nous se remettent en question et perdent tous leurs moyens. La pression au travail, la compétition, l’argent qui circule partout créent une insécurité permanente et des peurs inconnues jusqu’à alors. On ne maîtrise plus sa propre personne, et tout en se méfiant des autres, c’est à soi que finalement on accorde le moins de crédit.
Pourquoi ?
La peur de la critique, la phobie du regard des autres est l’une des principales causes du manque de confiance en soi. En effet, le principal symptôme consiste à redouter à l’extrême le jugement d’autrui. Les problèmes d’estime de soi lui sont souvent associés, entraînant une peur de ne pas être à la hauteur.
La peur de décevoir empêche de profiter des preuves d’affection de l’entourage. Il va donc falloir apprendre à décevoir…Mais le sentiment d’infériorité, qui remonte parfois à la petite enfance, est fort, difficile à surmonter.
Le manque de confiance chez l’enfant puis chez l’adulte se traduit par une mauvaise observation des situations et des attitudes de l’entourage, par la tendance à voir toujours ses propres défauts.
Et un cercle vicieux s’installe: devant notre attitude effacée, l’entourage professionnel, amical ou même plus proche, prend petit à petit l’habitude de ne pas demander notre avis. Résultat : on se sent dévalorisé parce que, forcément, si l’on n’est pas sollicité, c’est que l’on n’est pas à la hauteur. Alors on a honte, on se renferme sur soi…
Le manque de confiance en soi peut, dans certains cas, conduire à une véritable crise identitaire, et il devient alors difficile d’affronter le quotidien.
Comment en venir à bout ?
Changer son attitude, et surtout surmonter ses peurs, demande souvent un travail sur soi qu’il n’est pas possible de réaliser seul.
Je conseille vivement de faire des séances d’Hypnose Ericksonienne, qui aideront à identifier la ou les causes du mal-être, l’origine de leur chronicité, et qui permettront de refaire surface, de positiver et de s’aimer un peu plus.
Les médecines douces (phytothérapie, homéopathie) se révèlent également très efficaces quand il y a un fond de déprime, voire de dépression, induit par des années de doute et de remise en question.
Au même titre, on trouvera des solutions avec les thérapies brèves tels les TCC (Thérapies Comportementales et Cognitives) qui suivent une démarche de résolution de problème sans remonter à la petite enfance.
L’EFT
Cette technique permet de libérer le corps des douleurs qui le font souffrir et de nettoyer l’esprit, en le débarrassant des émotions négatives. Elle utilise la stimulation par tapotement (tapping) de points situés sur des méridiens d’acupuncture, tout en verbalisant les informations concernant le problème à résoudre.
Les séances d’EFT permettent d’évacuer les émotions « toxiques » tout en conservant l’information positive. D’en finir avec les blocages, les peurs, les phobies. De supprimer d’anciennes croyances qui ne nous servent à rien.
Les résultats sont rapides et durables. Venez me voir à mon cabinet à Bayonne, je vous expliquerai la méthode et nous ferons une séance test.
Médecine douce à Bayonne 